L’association No Plastic In My Sea, en collaboration avec ses partenaires (le Réseau Consigne, le Réseau Vrac et l’Institut du Commerce) a récemment publié un rapport intitulé « 500 solutions à la pollution plastique et 12 recommandations ». Celui-ci vise à accélérer la transformation de nos modes de production et de distribution afin de réduire la pollution plastique qui menace la biodiversité. 

Pour rappel, concernant la pollution plastique, l’on parle de 7e continent… Quelques chiffres pour montrer l’ampleur des dégâts (et qui font froid dans le dos) : au moins 1 800 milliards de déchets plastiques polluent les océans et forment une monstrueuse masse dans le Pacifique. On parle ainsi d’un continent flottant qui s’étalerait sur une surface équivalente à trois fois celle de la France.

Or cette pollution a des conséquences dévastatrices sur la faune marine, la santé humaine et les écosystèmes. Face à cette menace, de nombreuses organisations travaillent à trouver des solutions innovantes et durables pour réduire l’utilisation de cette matière quand elle est à usage unique et promouvoir une économie circulaire. Parmi elles, l’association No Plastic In My Sea qui a élaboré un rapport exhaustif recensant pas moins de 500 solutions pour lutter contre ce phénomène. Ces dernières sont regroupées en six catégories principales : la réduction à la source, la conception éco-responsable, la consommation responsable, la collecte et le tri efficace, le recyclage innovant et la sensibilisation du public. Chaque solution est décrite en détail, avec des exemples concrets et des cas d’étude pour illustrer leur mise en œuvre réussie dans différentes parties du monde.

En outre, le rapport présente également 12 recommandations clés pour accélérer la transformation de nos modes de production et de distribution. Ces préconisations incluent la nécessité d’instaurer des politiques gouvernementales et des régulations plus strictes pour réduire l’utilisation du plastique à usage unique, encourager l’économie circulaire et promouvoir des alternatives durables. Le document souligne également l’importance de l’éducation et de la sensibilisation du public, ainsi que la nécessité d’une collaboration entre les différents acteurs, y compris les entreprises, les gouvernements, les organisations de la société civile et les consommateurs.

Objectif : offrir une vision globale et complète des actions nécessaires pour lutter contre la pollution plastique et accélérer la transition durable grâce à des recommandations concrètes et innovantes pouvant être mises en œuvre à différents niveaux, de l’individu à l’échelle mondiale… 

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